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| SCIENCES DE LA SANTE [ S.S. ] |
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Revue du COSA-CMF |
| Auteurs de l'article |
| COULIBALY A, TRAORÉ H, KONÉ R, DIARRA D, KASSAMBARA A, BA B. |
| Mots Clés |
| Améloblastome, Maxillaires, résection
interruptrice, reconstruction, Bamako |
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Num ISSN : 1817-552x [ Trimestriel ] |
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Parution N° 4 du 04-03-2022 |
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Volume : 28 de l'année 2021 |
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| PRISE EN CHARGE DE L’AMÉLOBLASTOME DES MAXILLAIRES AU CENTRE NATIONAL D’ODONTO-STOMATOLOGIE DE BAMAKOpp. 67-70. |
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| Introduction : L’objectif de ce travail était de faire un état des lieux de la prise en charge de l’améloblastome des maxillaires dans un contexte de sous médicalisation.
Méthodes : Une étude transversale descriptive a été réalisée sur une période de 4 ans (2017 à 2020) et a concerné tous les cas d’améloblastome des maxillaires confirmés par l’histologie et pris en charge. Les données recueillies ont été compilées puis saisies et analysées sur le logiciel SPSS version 19.
Résultats : Il a été colligé, durant la période d’étude,
46 cas. Les hommes étaient majoritaires (63 %) avec un sex-ratio de 1,6. La moyenne d’âge a été de 32 ans avec un écart type de 13 ans. Les commerçants ont représenté 26,2% des cas. Le siège mandibulaire était le plus fréquent avec un taux de 95,7 % des cas. La tuméfaction était le principal motif de consultation avec 76,1% des cas. L’améloblastome simple était le type principal avec 84,8 %. La résection interruptrice de la mandibule avec désarticulation a été pratiquée dans 47,7% des cas. La reconstruction mandibulaire à l’aide d’endoprothèse a été réalisée dans 71,7% des cas.
Conclusion : La prévalence de l’améloblastome reste relativement élevée dans notre contexte.
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